Volpage

5 octobre 2018 0 Par ilmarys

Les volpages sont de grands oiseaux d’environ 1m20 cm de haut pour 2m60 d’envergure. Leur plumage varient entre le noir et vert foncé.

Leurs becs sont assez massifs, avec une partie supérieure plus grosse que l’inférieure. Ils sont également légèrement recourbés. Chaque individu se caractérise par un bec unique.

Leurs becs arborent des couleurs et des motifs qui définissent les individus. En général, le motif se transmet par la mère et les couleurs par le père, ce qui leur permet de se reconnaître très rapidement comme si leurs noms et prénoms étaient écrits sur leur visage.

Certains individus possèdent une formation cornue sur leur becs. Ils sont appelés les biscornus.

Leurs serres sont munis de longues griffes rétractables qu’ils peuvent enfoncer jusqu’à 8cm dans leurs proies.

Les volpages ont une excellente vue et possèdent des fossettes sensorielles au niveau de leur bec qui leur permettent d’être sensibles au rayonnement infrarouge, ce qui leur permet d’avoir une image thermique de leur environnement. Ces fossettes sont reliées par de nombreuses terminaisons nerveuses qui, dans leur cerveau, se connectent au même neurones sensoriels que celles reliant les yeux. Grâce à cela, ils ont une parfaite connaissance de leur terrain de chasse.

Ils chassent aussi bien de jour que de nuit, souvent en groupes de 10 à 15 individus. Ils survolent la canopée jusqu’à détecter une proie avant de descendre en piquet à plus de 200km/h esquivant branches et autres obstacles. Sans obstacles, ils peuvent atteindre plus de 300km/h en piquet.

Lors de leur descente, leurs ailes émettent un sifflement qui est assez caractéristique de leurs attaques.

Si la cible essaye de s’enfuir, ils vont la pourchasser avec une formation en V afin de la prendre en tenaille.

Leurs ailes et tout leur corps sont parfaitement adaptés pour le vol en forêt. Ils n’hésitent pas à utiliser la gravité pour faire le moins d’efforts possibles.

Ils communiquent par des chants et des cris. Leurs communications semblent assez complexes, et personne n’a jamais réussi à les étudier correctement.

Lorsqu’ils frappent leurs victimes, ils visent toujours sur les zones les plus sensibles : yeux, grosses artères… Ils n’hésitent pas à faire saigner leurs victimes et attendre qu’elles se vident de leur sang. Ainsi, leurs attaques sont souvent fulgurantes et mortelles.

Ils font leurs nids en haut des grands arbres pour rester hors d’atteinte des autres prédateurs.